Isabelle Olivier :
Télérama
"A qui se ferait de la harpe et d'une harpiste une idée éthérée, Isabelle Olivier apporte un étonnant démenti. Qu'on n'imagine pas pour autant une harpie acharnée contre la beauté. Elle est musicienne de jazz avant tout, expérimentant avec son instrument (et la complicité d'Olivier Sens aux ordinateurs) des formes intrigantes dans son nouveau disque, "Island #41" qui retient l'attention" Michel Contat
Citizenjazz.com
"Isabelle Olivier n'invite pas à écrire sur la musique mais à se ruer sur l'instrument. Elle ne cherche pas à garder la musique comme un doux et intime secret, mais fait naître la soif de la transmettre, de partager la bonne nouvelle : le jazz n'est pas mort" Mathieu Durand
Jazzman octobre 2009 ( Isabelle Olivier ) et mai 2009 (Youn Sun Nah )
Youn Sun Nah :
« Youn Sun Nah possède une voix étonnante, au registre étendu, capable de jouer sur plusieurs timbres. Cette richesse lui permet d’interpréter avec une grande subtilité des compositions originales, qui tournent résolument le dos aux sempiternels standards de jazz. Youn Sun Nah ose. Avec un sens étonnant de l’improvisation. Et un savoir-faire plein de subtilité. » Le Monde 2 – Yann Plougastel
« Il y a une sorte de magie autour de cette fille mystérieuse qui chante toutes les âmes de son corps avec une parfaite innocence »
« Une voix qui semble avoir été mise au monde pour chanter l’amour » Télérama – Michel Contat
« Vous vous demandez qui est la plus grande chanteuse de jazz du moment ? Elle est coréenne et s’appelle Youn Sun Nah »
« Personne d’autre ne prend autant de risques, comme, par exemple, celui de révéler des nuances infimes dont les mélomanes ignoraient l’existence. On tremble devant tant de fragilité » Psychologies
« On ne lasse plus d’écouter la coréenne Youn Sun Nah, sans conteste la plus grande chanteuse de jazz depuis l’apparition de l’américaine Patricia Barber, il y a une dizaine d’années ... « Dotée d’une technique ahurissante, d’une sensibilité prodigieuse, elle nous révèle des univers dont nous n’imaginions pas l’existence »
« Sa voix extraordinairement ductile, peut tout : les pianissimi les plus subtils et les forte les plus éclatants. Personne ne sait passer aussi vite de l’un à l’autre, personne ne peut les deux tout simplement » Les Echos – Renaud Czarnes
« L’intelligence de Youn Sun Nah est de se tenir à l’écart du jazz, des fantasmes qu’éveillent l’expressivité noire-américaine, le message et les notes bleues du blues, l’improvisation et le virtuosité instrumentale , les standards, le folklore des clubs, la féminité caricaturale de la veine glamour »
« Elle a rejoint, en tout cas, l’art de la chanson par la grande porte » Jazzman- Franck Bergerot
Henri Texier Strada Sextet :
Jazzman Février 2007
"Le contrebassiste hors-pair témoigne toujours d’une invention mélodique inépuisable pour une musique souple, aux contours
subtils et sensuels, furieusement lyrique qui retrouve, sans jamais tomber dans la facilité, tout son pouvoir de ravissement.
Beauté plastique d’un monde sonore ample et imaginaire, où le rythme suggère le mouvement."
Jazzman
"Henri TEXIER et ses compagnons de fortune désignent de nouveaux horizons et les pistes imprenables où s’engouffrer. Ce
qui est le signe d’une musique en perpétuel devenir."
Les Inrockuptibles
"Henri Texier, avide de rencontres et exigeant dans le choix de ses partenaires, est animé par une joie rageuse de jouer et de
créer. "
Jazz in Time
"...On y bat le rappel des batailles à mener, le réveil des résistances, le rassemblement des grands départs. Mais, comme toujours
chez Texier, le tambour est le support de chant, hymnes solennels et rituels, mélodies ntemporelles pour pleurer, panser ses
blessures, bercer, entretenir la mémoire et l’espoir par delà la mort et la peur…. "
Jazzman
"Le contrebassiste le plus spectaculaire du jazz français est aussi celui qui tend ses lignes avec toute la concentration d’un
maître zen. C’est une rythmique d’une souplesse à vous faire marcher avec les semelles de vent qu’avait rêvées Rimbaud."
Télérama
"Rarement une musique n’aura approché d’aussi près l’émotion et la beauté de ces grands espaces. Un jazz du vent et du
froissement, du galop et du repos, de l’inquiétude en alerte et de l’infinie douceur des choses."
La Nouvelle République